La débâcle de la prospective? Le thème est à la fois provocateur et pourtant s’impose!…
Comment prévoir le futur dans ces conditions (c’est à dire le covid et toutes ces pandémies possibles incrustées dorénavant dans nos imaginaires)? Nous avions déjà les désastres écologiques, prévisibles en partie, les crash financiers, les actes terroristes…
Faut-il donc jeter le gant de la prospective, ou « prospectiver » d’autant plus?
Deux informations avant que de plonger dans les contributions:
- Nombreux sont ceux parmi vous qui nous ont fait remarquer qu’il serait intéressant de traiter le sujet dans quelques mois, et nous avons dit « banco », éditons des « billets d’humeur » aujourd’hui, à chaud, et de nouvelles chroniques en automne sur ce thème (espérons le plus « à froid »!)
- Nous produisons aujourd’hui un mélange de contributions proposant d’un côté des réflexions sur la fonction même de prospective, et plus généralement même sur notre manière d’appréhender l’avenir, et d’un autre côté des exercices a cappella de projection sur des thématiques qui nous sont chères…
Les projections thématiques
Nos espaces temps de travail en sortie de crise? Une contribution de Elisabeth Pelegrin-Genel (architecte, psychologue du travail, consultante RIST)
Peut-on faire de la GEPEC aujourd’hui pour les métiers de l’expertise ? Une contribution de François Fort (CEO de RIST, enseignant chercheur à l’Université Paris Dauphine)
Le capital-risque et la prospective à l’épreuve du COVID-19 : préserver l’optionalité. Une contribution de Pierrick Bouffaron (Managing Director, Sangha Ventures)
Crise covid et santé mentale. Une contribution de Vincent Loury (formateur, consultant, psy de l’Ecole de Palo Alto, membre de l’équipe RIST)
La fonction prospective en question
La prospective, victime du Covid-19? Une contribution de Philippe Portier (formateur, consultant et monteur de projets, membre de l’équipe RIST)
Modernité, post-modernité et hypermodernité ? Pour une néo-modernité génératrice de vision collective et d’un progrès à la fois raisonnable et ré-enchanté. Une contribution de François Fort (CEO de RIST, enseignant chercheur à l’Université Paris Dauphine)
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